Le Judo SLO Bettancourt a présenté un judoka minime au stage de Giffaumont.

Le comité départemental de judo de Haute-Marne a organisé un stage de perfectionnement, samedi 28 et dimanche 29 décembre. Les tatamis du dojo du centre sportif et de loisirs de Giffaumont-Champaubert ont tremblé en raison de nombreuses chutes des jeunes judokas.C’est devenu une habitude du comité départemental de Haute-Marne de judo. Les vacances scolaires sont l’occasion d’organiser un stage de judo.

A Noël, ce sont les benjamins et minimes, 45 jeunes judokas de Haute-Marne et de l’Aube qui participaient à ce stage : deux jours intenses consacrés exclusivement au judo, avec un emploi du temps chargé, sous la responsabilité de Julien Allibert, ceinture noire 4eme dan, du comité de la Haute-Marne, et de Rémi Macher, du comité de l’Aube, également ceinture noire 3eme dan, tous deux diplômés d’Etat, assistés de plusieurs moniteurs.

« L’essentiel de ces deux jours a été consacré d’une part à l’amélioration des gestes techniques pour acquérir des automatismes, et d’autre part, à des combats de judo, notamment le randori, le kakari-geiko et le shiai. Il est important pour ces jeunes de se confronter avec d’autres judokas de différents clubs et de pouvoir s’affronter entre différentes ceintures. L’ambiance aussi est prépondérante pour réussir un stage, et la nous sommes toujours très satisfaits de l’accueil que nous réserve ce centre sportif et de loisir à chacun de nos stages. » expliquait Julien Allibert.

Si les deux jours se déroulent sur les tatamis, la soirée du samedi est aussi bien remplie, comme le développe son collègue Rémi Macher : « Nos jeunes viennent pour apprendre le judo, mais ils doivent aussi connaître tout son environnement. Alors notre soirée de samedi a été consacrée à la diffusion d’informations sur l’arbitrage et sur les commissaires sportifs, des intervenants qui contribuent au bon esprit des rencontres. »

Les jeunes judokas, benjamins et minimes ont montré une reele envie de progresser et l’ambiance était tres bonne entre les judokas de chaque club, affirme Julien Allibert.

Source : Le journal de la Haute Marne, édition du 4 janvier 2014